La culture du viol

Violences sexistes et sexuelles

Qu’est-ce que c’est?

La culture du viol. C’est un terme que l’on entend de plus en plus, mais on ne sait pas forcément ce qui se cache derrière. Il est difficile de donner une définition exacte, les exemples seront plus parlants. On peut tout de même donner une définition générale: c’est un ensemble de comportements acquis, que nous ne questionnons pas, qui banalisent voire justifient le viol.

Où?

Si l’on utilise le terme “culture” ce n’est pas au hasard. Évidemment, on les observe dans notre vie quotidienne, notre entourage et parfois par nous même. Mais on retrouve également cette culture dans le cinéma par exemple. La liste est longue mais vous l’aurez compris, on retrouve ces comportements un peu partout autour de nous. Pour mieux comprendre, voici quelques exemples par lesquels cette “culture” se manifeste.

Exemples :

La non-responsabilité des agresseurs :

  • La banalisation des agressions :

On entend souvent parler d’attouchements, de frotteurs ou encore d’autres termes qui désignent en fait des agressions sexuelles. Le simple fait de ne pas utiliser ce mot qui est pourtant le terme adapté à la situation montre déjà une certaine banalisation. Parler d’agression sexuelle est bien plus fort que de parler d’attouchement ou de frotteur. Une agression sexuelle est grave, choquante pour la victime voire traumatisante et surtout est punie par la loi. Mais il y a aussi les remarques relativement courantes comme “C’est juste une main aux fesses” ou “ En même temps, tu es très joli.e, c’est normal” ou encore “Ne va pas te plaindre de plaire !”. Toutes ces réflexions banalisent ces agressions et empêchent les victimes de s’exprimer et leur donnent l’impression qu’elles n’ont pas le droit de se plaindre et doivent simplement accepter ces comportements. On retrouve les mêmes mécanismes avec le harcèlement.

  • La définition de la virilité (les agresseurs sont généralement des hommes cisgenre) :

La virilité est un vaste sujet que nous ne pouvons pas détailler ici*. Néanmoins, cette définition est très importante dans notre société patriarcale. D’après le dictionnaire le petit Robert par exemple, la virilité est définie comme l’ ”ensemble des attributs et caractères physiques, mentaux et sexuels de l’homme” et aussi la “puissance sexuelle chez l’homme”. Parmi les synonymes de virilité on retrouve “vigueur sexuelle, énergie, fermeté, poigne, puissance”. Malheureusement, cela est bien plus qu’une simple définition dans un dictionnaire, ce sont des attentes que l’on a réellement (même si pas toujours consciemment) d’un homme dans notre société. Le fait de penser que ces caractéristiques sont naturelles, et propres à l’homme, pose problème et participe à justifier de nombreux comportements inappropriés qui participent à la culture du viol.

La responsabilité des victimes :

  • Sur la tenue :

Nous avons tous entendu au moins une fois des avertissements sur une tenue, considérée comme trop provocante par exemple qui pourrait soit disant inciter au viol. Ou pire, nous avons même pu entendre dire que si la victime avait été habillée différemment, le viol ne se serait pas produit: c’est-à-dire que la tenue justifie le viol. Pourtant, cela est totalement faux. D’abord le choix d’une tenue vestimentaire n’a rien à voir avec le consentement. On peut décider de s’habiller comme on le souhaite pour la raison que l’on veut. Même si l’on décide de porter des vêtements dans le but de plaire à une personne, cela ne signifie en aucun cas que l’on donne son consentement à cette personne. Quoi qu’il arrive, jamais une tenue ne justifiera un viol.

  • L’expression du consentement :

Nous connaissons tou.te.s l’expression “qui ne dit mot consent”. Et bien non, qui ne dit mot ne consent PAS. Le consentement c’est un oui franc. Ne rien dire n’est pas consentir, un oui à un moment ne sous-entend pas un oui pour toujours et pour tout, on peut changer d’avis à tout moment.  C’est un point extrêmement important, on entend souvent des propos qui fonctionnent dans une logique inverse “Elle/il n’a pas dit non donc il était d’accord”, “Elle/il a dit oui au début, elle/il n’a pas pu changer d’avis”. Ces affirmations sont fausses, tout simplement. Une victime ne sera jamais responsable car elle n’a pas dit non ou pas assez fort ou bien qu’elle a changé d’avis.

  • L’alcool/ drogues etc. :

Une personne sous l’emprise de drogue ou d’alcool n’est pas en état de donner son consentement. On a déjà pu entendre “elle/il n’avait qu’à ne pas boire autant”, non ce n’est pas parce qu’une personne n’est pas en pleine possession de ses moyens que cela justifie une agression ou un viol, au contraire c’est une circonstance aggravante. Encore une fois, quel que ce soit son état, une victime n’est jamais responsable de son agression, jamais.

La décrédibilisation des victimes :

  • Exagération des chiffres de fausses déclarations

Il est courant d’entendre dire qu’il n’y a pas tant de viols, qu’il y a beaucoup de fausses plaintes. Premièrement, cette affirmation est fausse et l’on peut pour cela s’appuyer sur des chiffres issus d’études : le pourcentage de fausses plaintes est d’environ 3%**. En outre, selon une étude du ministère de l’Intérieur, seuls 8% des victimes portent plainte et selon le ministère de la Justice, 13% de ces plaintes aboutissent. Autant dire que majoritairement les agresseurs sont impunis. Il est important que ces chiffres soient connus pour que la parole des victimes soit plus écoutée et qu’on cesse de remettre chaque accusation en question sous prétexte que soit disant de nombreuses déclarations sont fausses. Il faut également comprendre la position des victimes: il est déjà extrêmement difficile de parler de son viol quand on est écouté et encore plus lorsque sa parole est mise en doute.


Les conséquences :

Évidemment, la liste des exemples n’est pas exhaustive, malheureusement, cet article pourrait être bien plus long. En tout cas, les conséquences de ces comportements sont bien réelles: il est extrêmement difficile d’avoir des chiffres juste sur le nombre d’agressions/viols qui ont lieu chaque année tellement nombre de victimes ne parlent jamais. Néanmoins, selon les estimations, 94000 femmes sont victimes de viols ou de tentatives de viol chaque année en France***. L’autre conséquence, c’est le silence suite à ces agressions. Les graphiques ci-dessous montrent le pourcentage de plaintes déposées dans différentes situations :

Que faire ? 

Alors que faire face à ces tristes constatations? Évidemment, il y a des solutions, nous pouvons faire évoluer les choses et faire que cet article n’ait plus de raison d’exister. Nous vous proposons encore une fois une liste de pistes non exhaustives pour combattre cette culture du viol :

  • S’éduquer, et si tu as l’envie et le courage, aider ton entourage à s’éduquer. Il existe de nombreuses ressources pour cela. L’association “Nous Toutes” propose gratuitement des formations en ligne, il existe pleins de livres, comptes Instagram, documentaires pour nous aider à déconstruire tous ces comportements. 
  • Être attentif aux “blagues” offensantes, aux propos qui banalisent le viol,
  • Casser les stéréotypes
  • Ne pas attribuer la faute aux victimes: quelque soit le contexte elles ne sont JAMAIS responsables
  • Créer la culture du consentement en opposition à la culture du viol. Ne jamais avoir peur de demander le consentement des autres, on ne le demandera jamais trop
  • Être à l’écoute des personnes qui nous entourent
  • Arrêter l’objectivation des femmes et des minorités
  • Apporter un regard critique sur le contenu proposé par les média, la télévision, le cinéma 

* Pour aller plus loin, il existe de nombreuses ressources comme par exemple l’épisode « Éducations viriles » du Podcast les couilles sur le table de Binge audio (disponible gratuitement)

** « False Allegations of Sexual Assault : An Analysis of Ten Years of Reported Cases », par David Lisak, Lori Gardinier, Sarah C. Nicksa, Ashley M. Cote

« Study of Reported Rapes in Victoria 2000-2003, Summary Research Report », Dr.

Melanie Heenan; Dr. Suellen Murray

via pubilcation @mecreantes “les fausses accusation de viol, la création d’un mythe”

*** Enquête ONDPR/Insee

Le viol

Violences sexistes et sexuelles

1 étudiante sur 20 dit avoir été victime de viol selon l’étude de l’Observatoire étudiant des violences sexuelles et sexistes dans l’enseignement supérieur.

Le viol associe violence, agression et domination. D’après Amnesty International, l’État est responsable s’il ne fait pas tout pour empêcher, punir ou réparer le crime. Les lois relatives au viol sont souvent inadaptées. Par exemple, dans de nombreux pays, le viol conjugal n’est ni reconnu, ni interdit.

Mais qu’est ce qu’un viol ?

Article 222-23

Modifié par LOI n°2018-703 du 3 août 2018 – art. 2

Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui ou sur la personne de l’auteur par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol.

​Peu importe donc la nature de « l’objet » pénétrant (sexe, doigt, sextoy ..) et l’orifice qui est pénétré (bouche, vagin, anus).

Quand on évoque le viol, une agression violente d’un inconnu dans un lieu un peu glauque est souvent imaginé. Or, de nombreux viols ont lieu dans le domicile familial et sont commis par des proches. C’est une conséquence de ce qu’on appelle la culture du viol, qui tend à les hiérarchiser, ce qui décourage de nombreuses victimes à porter plaintes.

La culture du viol, c’est quand on affirme que les hommes ont “des besoins à assouvir”, et que les victimes “n’avaient qu’à pas s’habiller comme ça”, faire attention à son verre, pas boire autant… C’est aussi encourager les femmes à avoir un rapport sexuel pour faire plaisir à quelqu’un ou parce qu’elles ont peur des conséquences.

La culture du viol, c’est quand 20 % des Français croient qu’une femme qui dit non pense souvent oui.

 « La culture du viol, c’est quand 20 % des français croient qu’une femme qui dit non pense souvent oui. » Maïa Mazaurette


COURT-MÉTRAGE de Chloé Fontaine : JE SUIS ORDINAIRE autour du viol conjugal

Les stéréotypes sur le viol ont la peau dure, notamment ceux sur le viol conjugal. Saviez-vous que pour  47% des viols, c’est le conjoint ou ex-conjoint qui est l’auteur ?

Dans un couple, les envies de sexe ne sont pas toujours raccords et souvent la libido des deux partenaires n’a pas la même intensité. Malgré tout, ce n’est en aucun cas une excuse pour forcer son partenaire. On imagine souvent que le viol est violent physiquement, pourtant il se passe la plupart du temps sans coups et avec seulement la violence des mots.

Insister pour obtenir un rapport sexuel, faire du chantage ou mettre la pression de quelque manière, est intolérable.

Que votre partenaire soit votre femme ou votre copine, personne ne vous doit jamais du sexe !

PODCAST Les couilles sur la table de Victoire Tuaillon : LES VRAIS HOMMES NE VIOLENT PAS

« Ceux qui commettent des violences sexuelles ont une chose en commun : ils sont de genre masculin. L’immense majorité des violences sexuelles sont commises par des hommes : entre 94 % et 98 %. Qu’est-ce qui dans la socialisation masculine, la façon dont sont éduqués les garçons, pourrait permettre de l’expliquer ? »

Voilà comment est présenté ce podcast, à vos écouteurs pour en apprendre plus !

ARTICLE : Comprendre ce qu’est la culture du viol

Comme l’a définit le magazine Madmoizelle, la culture du viol est un environnement social et médiatique, dans lequel les violences sexuelles trouvent des excuses, des justifications, sont simplement banalisées, voire acceptées.

En fait c’est toutes les croyances qu’on nous a apprises au cours de notre vie par rapport au viol et que l’on continue à intégrer tous les jours via les médias. Ces croyances sont fausses et véhiculent des préjugés : une fille aura mérité d’être violée si elle est habillée légèrement ou si elle est sortie seule tard le soir, les viols arrivent la nuit dans des parkings sombres avec un agresseur au couteau, les hommes ont plus de mal à contrôler leurs pulsions sexuelles que les femmes … la liste est longue.

Les cultures du viol diffèrent selon les pays, en France il y a également cette idée qu’il y aurait une « galanterie à la française », cette idée sème un flou qui n’a pas lieu d’être autour de la drague.

Ce concept est un peu compliqué à comprendre et concevoir, on vous met donc plusieurs liens à disposition, faites en bon usage.

Avec quelques efforts quotidiens, on peut tous se forcer à éradiquer nos préjugés sexistes !

VIDÉO : Et tout le monde s’en fou – La culture du viol

A travers cette petite vidéo de 5 minutes, l’équipe de « Et tout le monde s’en fou » s’attaque à la culture du viol pour l’expliquer de façon ludique avec une touche d’ironie.

Le harcèlement

Violences sexistes et sexuelles

Le harcèlement est un type de violence puni par la loi. C’est un terme juridique qui n’est pas toujours facile à comprendre.

Voilà déjà ce que dit la loi :

Article 222-33-2-2

Le fait de harceler une personne par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une altération de sa santé physique ou mentale est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende lorsque ces faits ont causé une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours ou n’ont entraîné aucune incapacité de travail.

​Le harcèlement, c’est: des insultes, des moqueries, des menaces, des coups… Harceler quelqu’un, c’est lui faire subir une ou plusieurs de ces violences encore et encore pour le blesser ou obtenir quelque chose. Le harcèlement peut avoir lieu partout : à l’école, au travail, à la maison, dans la rue, sur Internet… Les femmes sont particulièrement victimes de harcèlement, que ce soit dans la rue, chez elles ou encore au travail. Il existe un type de harcèlement particulier, duquel elles sont souvent victime : c’est le harcèlement sexuel. Ce type de harcèlement a une définition bien particulière et c’est celui-ci qui nous intéresse dans le cadre des violences faites aux femmes :

Le fait d’imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle ou sexiste qui :

  • soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant,
  • soit créent à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante.

ARTICLE SLATE – Les comédies romantiques confondent trop souvent harcèlement et romantisme

Cet article dénonce la mauvaise influence parfois engendrée par des comédies romantiques. Elles peuvent donner aux spectateurs l’illusion que des comportements sont romantique alors qui relèvent clairement du harcèlement.

ARTICLE RTBF.BE – Comment les images de corps sexualisés nous font tolérer le harcèlement

Les images de corps féminins sexualisés ont tendance non seulement à transformer les femmes en un objet que l’on peut posséder mais aussi à altérer la perception que les femmes ont d’elles-mêmes.

Cet article très intéressant détail cette idée s’appuyant sur des études scientifiques.

BD – Projet Crocodiles

Le projet crocodile est une bande dessinée de Juliette Boutant et Thomas Mathieu qui parle du harcèlement et du sexisme ordinaire.

Bonne lecture !

Violences conjugales

Violences sexistes et sexuelles

Les violences conjugales sont toutes les formes de violences qui peuvent survenir particulièrement au sein d’un couple, marié ou non. On pense souvent aux violences physiques mais les violences psychologiques et/ou morales sont parfois tout aussi destructrices et accompagnent souvent les violences physiques. Les violences sexuelles comme les agressions sexuelles et le viol sont d’ailleurs la plupart du temps commises par le.la conjoint.e.

En France en 2019, 149 femmes sont décédées, tuées par leur conjoint ou ex-conjoint. Non pas de manière accidentelle comme le suppose l’expression « morte sous les coups » (comme si il y avait eu un coup trop fort et qui a dérapé), mais ce sont souvent des meurtres prémédités. Ces violences sont sous-estimées et il est important de savoir les reconnaître et aussi de savoir s’en protéger. Les conjoints ne possèdent aucun droit sur leur partenaire si ce n’est celui de le / la respecter !

LE VIOLENTOMETRE – Apprendre à repérer les violences (dans son couple)

Cet outil que tout le monde devrait avoir lu au moins une fois classe les actes qui font qu’une relation est saine ou qu’elle est dangereuse. Il est important de connaître les actes que relèvent de la violence ou non. Comme on l’a dit au dessus, le sexisme ordinaire est partout. Topito en a fait un top, rien de tel que des exemples pour illustrer ce concept. Vous aviez remarqué tout ça vous ?

ARTICLE BLOG – Crêpe Georgette

Mais pourquoi ne part-elle pas ?

La célèbre blogueuse Valery Rey-Robert de Crêpe Georgette répond à la remarque souvent faites quant on parle de violences conjugales : mais pourquoi ne part-elle pas ??

Ceci n’est pas un féminicide

Valery Rey-Robert revient ici sur les normes sociétales qui encouragent les violences. Un homme étant bien trop souvent considéré comme « faible » si il ose exprimer ses sentiments autrement qu’avec ses poings.

Sexisme bienveillant et sexisme ordinaire

Violences sexistes et sexuelles

Le sexisme bienveillant est un sexisme difficile à détecter car il part initialement d’une « bonne intention ». C’est un sexisme dont on peut penser qu’il est avantageux envers les femmes : le fait de leur tenir la porte, de porter leurs bagages, de leur laisser sa place dans le bus ou encore leur payer le restaurant sont les exemples les plus parlants de sexisme bienveillant.

« Laisse, je vais faire le créneau à ta place », « Veux-tu que j’ouvre cette bouteille de vin ? », « Vous devriez sourire Mademoiselle, vous seriez plus jolie » , « Moi je traite ma copine comme une princesse »

Le problème est que ces comportements infantilisent les femmes et les ramènent à une condition de chose fragile et jolie à protéger. Encore pire, ils encouragent parfois la culture du viol en instiguant l’idée que si un homme paye le repas, le cinéma .. etc la femme lui devra quelque chose en retour (un rapport sexuel par exemple). Le sexisme bienveillant est une forme de sexisme ordinaire car c’est un sexisme qui se déroule tous les jours sous nos yeux et qui n’est pas ouvertement hostile envers les femmes. Ce sont toutes les petites phrases paternalistes, condescendantes ou bien lourdes. Elles ne sont pas punies par la loi mais véhiculent de nombreux préjugés.

Ce sexisme qui peut paraître anodin est dangereux de par les idées qu’il véhicule. Mais heureusement, on peut faire en sorte que cela s’arrange en faisant attention à nos comportements, paroles mais aussi en reprenant notre entourage qui agirait de cette manière.

ARTICLE – TOPITO – Top 12 des trucs qui n’ont pas l’air sexistes, mais qui le sont quand même

Comme on l’a dit au dessus, le sexisme ordinaire est partout. Topito en a fait un top, rien de tel que des exemples pour illustrer ce concept. Vous aviez remarqué tout ça vous ?

ARTICLE BLOG – Crêpe Georgette – La galanterie est une forme de sexisme

La célèbre blogueuse Valery Rey-Robert de Crêpe Georgette nous parle particulièrement du cas de la galanterie et nous explique en détail pourquoi la galanterie est une forme de sexisme bienveillant et pourquoi elle est à bannir de notre quotidien.

Bonne lecture !

PODCAST – Un podcast à soi de Arte Radio – SEXISME ORDINAIRE EN MILIEU TEMPÉRÉ

« Le sexisme ordinaire est partout, tous les jours, dans tous les milieux sociaux. J’ai pourtant l’impression qu’on en parle moins lorsqu’il s’agit des milieux favorisés. J’ai donc voulu creuser, aller chercher ce qui se passe dans les bureaux de la Défense, dans les couloirs des entreprises du CAC 40, chez les catégories socio-professionnelles les plus élevées. »

Voilà comment est présenté cet épisode. 

Un épisode parfait pour se rappeler ou se rendre compte que le sexisme touche tous les milieux !